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dimanche 8 décembre 2019

La nuit d’avril 1915, Apollinaire, extrait

    Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons
    Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance
    Et tes mille soleils ont vidé les caissons
    Que les dieux de mes yeux remplissent en silence
    Nous vous aimons ô vie et nous vous agaçons

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