L'amour, lui-même, est considéré comme la satisfaction d'une faim sublime. Si ce langage est possible, c'est que la plupart de nos désirs ne sont pas purs, et l'amour non plus. Les désirs que l'on peut satisfaire ne ressemblent au désir métaphysique que dans les déceptions de la satisfaction ou dans l'exaspération de la non-satisfaction, qui constitue la volupté même.
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